vendredi 30 décembre 2011

Today I love ... YOU !





A l'aube d'une nouvelle année pleine d'amour, gloire et beauté 




je dédie mon post du jour à vous tous et toutes, mes fidèles lecteurs et lectrices .

Today and every day i blog you. Vous m'inspirez sans hésitation aucune. Aussi accortes que souriants , vous me lisez et me suivez. Mais je n'en attendais pas moins de vous . Vos commentaires make my day. A la lumière de ce postulat, personae gratae, je suis plus qu'heureuse de prendre inlassablement la plume et si ce plaisir est partagé, vous m'en voyez ravie.

Grâce à vous , je me sens une vraie Blogueuse avec un grand B. Et je n'ai pas fini de faire couler de l'encre car, comme toujours au moment d'écrire, je ressens une même jubilation enfantine. Et c'est sacrilègement bon !



D'avance, j'en frissonne de plaisir .

Mot compte triple for you : LOVE



Faites la fête .

K.

mardi 27 décembre 2011

Today I love ... la conjuration des imbéciles !


 
 
 
 
 




Une pépite drôlatique !

Vous ne savez plus quoi lire pendant les fêtes ? De plus la sinistrose ambiante affecte vos choix littéraires ! J'ai l'antidote , je vous conseille vivement :
 
 
 

 
La Conjuration des Imbéciles

... Burlesque , grinçant et déjanté ce roman vous fera pleurer de rire !
Laisse moi en juger, répondront certains, certes mais laissez vous séduire par cette perle rare, ce chef-d'oeuvre de drôlerie.

Son auteur John Kennedy Toole, a reçu le prix Pulitzer à titre posthume , car se croyant un écrivain raté, à force de ne pas trouver d'éditeur, il se suicida. La légende raconte que c'est après avoir essuyé le refus de tous les éditeurs que l'écrivain a inséré la citation de Jonathan Swift ( " Quand un vrai génie apparaît dans ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui "au début de son livre . Après sa mort, sa mère tente de faire publier ce que l'écrivain considérait comme son chef-d'oeuvre et réussira, fort heureusement.

Régalez vous , je vous promets un vrai moment !
Jubilation jubilatoire !
 

Pssst ... je ne vous cacherai pas que je compte en offrir to my friends , only precious one , mais chut c'est un secret !
 

lundi 26 décembre 2011

En mode rebelle !


J'annonce la couleur !

Pas de post suranné today mais de la trash attitude comme j'affectionne tant ces derniers temps ...
Voire même un zeste de hardcore si vous êtes sages mais pas trop lénifiants quand même .




Casque vissé sur les oreilles, provocatrice de gourmandises ... goûtées pour vous , je prends la plume et me lâche à l'envi ...



Edition limitée tonight, faut que ça BRILLE, faut que ça CLAQUE !

Je vous veux tous et toutes sens dessus dessous as crazy girls and boys we are ! Vous ne me liriez pas sinon !

Ca commence à pétiller en bouche ? J'espère !





Faites vos jeux. I hate être raisonnable !

Alors suivez moi et que rien ne s'oppose à la nuit. More than you see, il y a la vie, la vraie , corps et âme.

Un peu, beaucoup, absolument ! Entrez donc dans l'extraordinaire le temps d'un moment, plaisir garanti !

Satisfaisez toutes vos envies, faites des folies, soyez passionné sinon rien et instantanément, visiblement et précisément vous vivrez d'unforgettable moments, des histoires d'exception !







From me to you, je fais ce qui me plaît ... et fort bien d'ailleurs, et croyez moi c'est sacrilègement bon !

Faites passer le message, à bon entendeur salut !



mardi 20 décembre 2011

Humm ... nos madeleines ... de Proust !

Tel un maelström certains souvenirs , odeurs , douceurs ou autres délices enfantines réapparaissent au détour d'une rencontre , d'un lieu, de moments volés et nous émeuvent !

Qu'il est bon de les retrouver !

J'adore faire ma crâneuse lettrée ... au cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué mais j'assume aussi ( comment qu'elle s'la pète !) .

Alors que Proust mange une madeleine, son goût fait soudain resurgir celui des madeleines de son enfance et par extension, toute son enfance. La madeleine de Proust, c'est le détail qui rattache au passé, qui réveille les souvenirs. C'est le fil rouge d'une vie, la conscience d'un passé qui a façonné l'Homme que l'on est devenu.




On ne s'en lasse pas !
On est émus en dégustant notre Madeleine et on en pleurerait presque de bonheur !

Dans le cadre de ma grandeur ( réplique déjà cultissime de Madagascar 2 ) je vous laisse profiter du fameux extrait Swannissime :





II y avait déjà bien des années que, de Combray, tout ce qui n'était pas le théâtre et le drame de mon coucher, n'existait plus pour moi, quand un jour d'hiver, comme je rentrais à la maison, ma mère, voyant que j'avais froid, me proposa de me faire prendre, contre mon habitude, un peu de thé. Je refusai d'abord et, je ne sais pourquoi, me ravisai. Elle envoya chercher un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui semblent avoir été moulés dans la valve rainurée d'une coquille de Saint-Jacques. Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d'un triste lendemain, je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j'avais laissé s'amollir un morceau de madeleine. Mais à l'instant même où la gorgée mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d'extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m'avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause. II m'avait aussitôt rendu les vicissitudes de la vie indifférentes, ses désastres inoffensifs, sa brièveté illusoire, de la même façon qu'opère l'amour, en me remplissant d'une essence précieuse : ou plutôt cette essence n'était pas en moi, elle était moi. J'avais cessé de me sentir médiocre, contingent, mortel. D'où avait pu me venir cette puissante joie ? Je sentais qu'elle était liée au goût du thé et du gâteau, mais qu'elle le dépassait infiniment, ne devait pas être de même nature. D'où venait-elle ? Que signifiait-elle ? Où l'appréhender ? Je bois une seconde gorgée où je ne trouve rien de plus que dans la première, une troisième qui m'apporte un peu moins que la seconde. II est temps que je m'arrête, la vertu du breuvage semble diminuer. Il est clair que la vérité que je cherche n'est pas en lui, mais en moi. [...] Je pose la tasse et me tourne vers mon esprit. C'est à lui de trouver la vérité. Mais comment ? Grave incertitude, toutes les fois que l'esprit se sent dépassé par lui-même ; quand lui, le chercheur, est tout ensemble le pays obscur où il doit chercher et où tout son bagage ne lui sera de rien. Chercher ? pas seulement : créer. II est en face de quelque chose qui n'est pas encore et que seul il peut réaliser, puis faire entrer dans sa lumière. Et je recommence à me demander quel pouvait être cet état inconnu, qui n'apportait aucune preuve logique, mais l'évidence, de sa félicité, de sa réalité devant laquelle les autres s'évanouissaient. Je veux essayer de le faire réapparaître. Je rétrograde par la pensée au moment où je pris la première cuillerée de thé. Je retrouve le même état, sans une clarté nouvelle. Je demande à mon esprit un effort de plus, de ramener encore une fois la sensation qui s'enfuit. Et, pour que rien ne brise l'élan dont il va tâcher de la ressaisir, j'écarte tout obstacle, toute idée étrangère, j'abrite mes oreilles et mon attention contre les bruits de la chambre voisine. Mais sentant mon esprit qui se fatigue sans réussir, je le force au contraire à prendre cette distraction que je lui refusais, à penser à autre chose, à se refaire avant une tentative suprême. Puis une deuxième fois, je fais le vide devant lui, je remets en face de lui la saveur encore récente de cette première gorgée et je sens tressaillir en moi quelque chose qui se déplace, voudrait s'élever, quelque chose qu'on aurait désancré, à une grande profondeur ; je ne sais ce que c'est, mais cela monte lentement ; j'éprouve la résistance et j'entends la rumeur des distances traversées. Certes, ce qui palpite ainsi au fond de moi, ce doit être l'image, le souvenir visuel, qui, lié à cette saveur, tente de la suivre jusqu'à moi. Mais il se débat trop loin, trop confusément ; à peine si je perçois le reflet neutre où se confond l'insaisissable tourbillon des couleurs remuées ; mais je ne peux distinguer la forme, lui demander, comme au seul interprète possible, de me traduire le témoignage de sa contemporaine, de son inséparable compagne, la saveur, lui demander de m'apprendre de quelle circonstance particulière, de quelle époque du passé il s'agit. Arrivera-t-il jusqu'à la surface de ma claire conscience, ce souvenir, l'instant ancien que l'attraction d'un instant identique est venue de si loin solliciter, émouvoir, soulever tout au fond de moi ? Je ne sais. Maintenant je ne sens plus rien, il est arrêté, redescendu peut-être ; qui sait s'il remontera jamais de sa nuit ? Dix fois il me faut recommencer, me pencher vers lui. Et chaque fois la lâcheté qui nous détourne de toute tâche difficile, de toute oeuvre importante, m'a conseillé de laisser cela, de boire mon thé en pensant simplement à mes ennuis d'aujourd'hui, à mes désirs de demain qui se laissent remâcher sans peine. Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul. La vue de la petite madeleine ne m'avait rien rappelé avant que je n'y eusse goûté ; peut-être parce que, en ayant souvent aperçu depuis, sans en manger, sur les tablettes des pâtissiers, leur image avait quitté ces jours de Combray pour se lier à d'autres plus récents ; peut-être parce que, de ces souvenirs abandonnés si longtemps hors de la mémoire, rien ne survivait, tout s'était désagrégé ; les formes - et celle aussi du petit coquillage de pâtisserie, si grassement sensuel sous son plissage sévère et dévot - s'étaient abolies, ou, ensommeillées, avaient perdu la force d'expansion qui leur eût permis de rejoindre la conscience. Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l'édifice immense du souvenir.

Marcel Proust, À la recherche du temps perdu. Du côté de chez Swann, 1913.



Ma madeleine de Proust n'est ni une douceur ni une sucrerie , c'est une odeur inénarrable ! Celle de la colle Cléopatre pour manger ... et parfois coller . Une odeur d'amande impossible à oublier ( je la sens rien que d'en parler ) et tellement agréable que beaucoup la mangeait ( perso, j'ai jamais osé mais qu'est-ce que j'ai pu SNIFFER  ). From me to you, oui je sais, j'ai des souvenirs trop glam mais j'en ai d'autres plus pétillants , si si je vous assure ... Eh , revenez, me laissez pas toute seule  !
Loin de moi l'idée de vous imposer mon opinion personnelle que j'ai ( Madagascar 2, décidément ), mais c'est aucun doute , LE souvenir d'enfance numéro 1 !





Et vous, quelles sont vos madeleines de Proust ?


Never forget !





XOXO

jeudi 15 décembre 2011

Once upon a time ...

... une jeune femme fraîchement diplômée en littérature qui s'engagea dans la voie financière ( cherchez l'erreur ! ). Dynamique et motivée ( quand même ... ) elle évolua au sein de la sphère patrimoniale. Devenue maman elle continua sans relâche à s'investir dans le milieu bancaire.


 Puis une belle et opportune nouvelle arriva , elle partait vivre au bout du monde avec sa famille au pays du matin calme ( la Corée du Sud  si chère à mon coeur ). Là bas elle connut la joie de travailler auprès des enfants , collégiens et lycéens. Et ce qui devait arriver arriva, la magie opéra . En même temps , cette envie d'être entourée d'enfants était déjà là, latente et mûrissante.
Sa vie fut transformée, dorénavant elle se consacrerait aux enfants . Elle en avait déjà deux merveilleux, mère juive oblige , mais ça ne suffisait pas.


De retour au pays du fromage qui pue mais qu'on aime tant , elle reprit le chemin de l'école pour devenir professeur des écoles . Elle étudia à nouveau, au fond de la classe, près du radiateur et avec les cancres et se passionna pour la pédagogie et tout le toutim .Master en poche mais inadmissible au fameux concours, sésame de l'enseignement du premier degré , elle réussit à s'entourer d'élèves à nouveau et trouva alors un poste d'assistante pédagogique et d'éducation dans un collège.
Today I love children et tous les autres jours aussi , ils sont ma raison d'être.

Il ne faut pas avoir peur du bonheur. C'est seulement un bon moment à passer.

La curiosité des enfants est un penchant de la nature qui va comme au devant de l'instruction; ne manquez pas d'en profiter.    Fénelon

Voilà, en autre chose , ce qui me plaît en eux . Ils sont tous attachants, enfin presque tous. Et croyez moi , à leur contact, on est en perpétuel apprentissage . L'éducation ne consiste pas à gaver, mais à donner faim.





Courage, fuyons, diraient certains mais ne jugeons pas chaque jour à la récolte que nous faisons mais aux graines que nous semons.
Traitons les comme s'ils étaient ce qu'ils doivent être et nous les aiderons à devenir ce qu'ils sont capables d'être .   

Et cerise sur le gateau , la vie scolaire avec laquelle je travaille est quelque peu fantastique, on forme tous a magic team . Quant à la direction,  chapeau bas aussi !

On ne peut pas de toute façon faire ce métier sans aimer les enfants, c'est une certitude et je confirme.
Et n'oublions pas que toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants, mais peu s'en souviennent .   Saint Exupéry

Je dédie ce post à tous mes collégiens .


Moi aussi je vous aime !





La jeunesse est une ivresse continuelle; c'est la fièvre de la santé ; c'est la folie de la raison.




Happy end !

dimanche 4 décembre 2011

Today I love my dear Japan !

Let me be with you !







Je t'ai visité, je t'ai aimé et tu occupes une place à part dans mon coeur.

Tu as révélé ma Kawaïï attitude et je suis devenue Japan addict.




J'ai été bouleversée par le terrible drame survenu dans le Tôhoku et je reconnais que jusqu'à ce jour je n'avais pas oeuvré pour te venir en aide. Shame on me ! Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire !



Grâce à Be Barock j'ai découvert Kibô Promesse et j'en ai le beau à la bouche !
Cliquez vite !
http://kibo-promesse.org/2011/12/vente-solidarite-japon-kibo-promesse/



N'hésitez pas et comme moi venez découvrir et admirer leur boutique Solidarité Japon.
Participez à leur vente caritative, je compte sur votre solidarité.





Love JAPAN !

jeudi 1 décembre 2011

Today I love ... FG !

Et tous les autres jours de ma vie d'ailleurs, sans hésitation aucune !

FG, Fucking Good Music, est la radio de ma life.



Je lui dois ma pêche et ma bonne humeur, FG me fait ma journée !

Fidèle auditrice depuis maintenant plus de 5 ans, je me devais de lui consacrer un post addictissime .




Best radio in town, FG is my sunshine !

Chaque matin , avant de me rendre à mon boulot presque parfait, je mets le volume à fond les ballons sur 98.2 FM et la magie opère. J'ai une de ces pêches, de l'adrénaline pure et dure.
Tous les meilleurs dj's et tubes qui claquent sont résidents à vie sur cette Fucking Good Radio.
David Guetta, Bob Sinclar, Benny Benassi, et j'en passe , du pur bonheur, just ENJOY !



House, chic, clubbing, underground, dance electro, remix , les radios à 3 lettres ne font pas le poids. Je rigole doucement quand celles-ci ont le culot de clamer qu'elles sont les premières à programmer tel titre tubesque. Et là dedans , on se reveille. On les écoute déjà en boucle ces tueries ,  depuis au moins deux mois sur my Favorite Fucking Radio . Bienvenue là où tout commence !

Avec FG, ma play list c'est :



Il y a des hôtels qui grattent le ciel, il y des sons qui te font flying and dreaming, un point c'est tout !

Amis du son qui claque, rendez-vous sur FG, c'est juste une question de style !

Une vraie jubilation jubilatoire, mon anti stress , ma fillosophie musicale , the place to hear and dance !



Absolutely indispensable, priorité prioritaire, ma seule posologie !

FG m'accompagne , fidèle ami de tous les jours , toujours imité, jamais égalé !

Spéciale dédicace à Antoine B, the best one !

Une FG addict qui ne se soigne pas !

L'avenir de l'homme ...

... c'est la femme. Elle est la couleur de son âme.      Aragon

Quel visionnaire !





Que feriez-vous donc sans nous ? On se le demande bien !

Peu féministe , plutôt docile et soumise (  presque Japan woman ) il est tout de même grand temps que je remette l'église au milieu du village . Saperlipopette !

Ne jamais oublier que derrière la réussite de chaque homme il y a une femme.

Ode à nous !

Tous les grands hommes nous célèbrent, révisons nos classiques alors , que du bonheur en perspective !

Je fête l'essentiel, je fête ta présence .    Eluard

Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes .     Balzac

Certes, mais nous ne sommes pas que cela.

Un homme sans femme n'est qu'un demi-homme. Qu'on se le dise !

Femmes, c'est vous qui tenez entre vos mains le salut du monde.    Tolstoï

Là où tant d'hommes ont échoué, une femme peut réussir.   Talleyrand

Les femmes sont cause des plus grands évènements.  Bayle

Le bonheur est une femme.   Nietzsche

Ce que femme veut, Dieu le veut.

Une femme qui aime transforme le monde.

Et j'en passe ... La liste est loin d'être exhaustive , vous le comprendrez bien !

Toujours imitées, jamais égalées !

Be what we want !



Les femmes , ce n'est pas compliqué , c'est subtil !