vendredi 30 décembre 2011

Today I love ... YOU !





A l'aube d'une nouvelle année pleine d'amour, gloire et beauté 




je dédie mon post du jour à vous tous et toutes, mes fidèles lecteurs et lectrices .

Today and every day i blog you. Vous m'inspirez sans hésitation aucune. Aussi accortes que souriants , vous me lisez et me suivez. Mais je n'en attendais pas moins de vous . Vos commentaires make my day. A la lumière de ce postulat, personae gratae, je suis plus qu'heureuse de prendre inlassablement la plume et si ce plaisir est partagé, vous m'en voyez ravie.

Grâce à vous , je me sens une vraie Blogueuse avec un grand B. Et je n'ai pas fini de faire couler de l'encre car, comme toujours au moment d'écrire, je ressens une même jubilation enfantine. Et c'est sacrilègement bon !



D'avance, j'en frissonne de plaisir .

Mot compte triple for you : LOVE



Faites la fête .

K.

mardi 27 décembre 2011

Today I love ... la conjuration des imbéciles !


 
 
 
 
 




Une pépite drôlatique !

Vous ne savez plus quoi lire pendant les fêtes ? De plus la sinistrose ambiante affecte vos choix littéraires ! J'ai l'antidote , je vous conseille vivement :
 
 
 

 
La Conjuration des Imbéciles

... Burlesque , grinçant et déjanté ce roman vous fera pleurer de rire !
Laisse moi en juger, répondront certains, certes mais laissez vous séduire par cette perle rare, ce chef-d'oeuvre de drôlerie.

Son auteur John Kennedy Toole, a reçu le prix Pulitzer à titre posthume , car se croyant un écrivain raté, à force de ne pas trouver d'éditeur, il se suicida. La légende raconte que c'est après avoir essuyé le refus de tous les éditeurs que l'écrivain a inséré la citation de Jonathan Swift ( " Quand un vrai génie apparaît dans ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui "au début de son livre . Après sa mort, sa mère tente de faire publier ce que l'écrivain considérait comme son chef-d'oeuvre et réussira, fort heureusement.

Régalez vous , je vous promets un vrai moment !
Jubilation jubilatoire !
 

Pssst ... je ne vous cacherai pas que je compte en offrir to my friends , only precious one , mais chut c'est un secret !
 

lundi 26 décembre 2011

En mode rebelle !


J'annonce la couleur !

Pas de post suranné today mais de la trash attitude comme j'affectionne tant ces derniers temps ...
Voire même un zeste de hardcore si vous êtes sages mais pas trop lénifiants quand même .




Casque vissé sur les oreilles, provocatrice de gourmandises ... goûtées pour vous , je prends la plume et me lâche à l'envi ...



Edition limitée tonight, faut que ça BRILLE, faut que ça CLAQUE !

Je vous veux tous et toutes sens dessus dessous as crazy girls and boys we are ! Vous ne me liriez pas sinon !

Ca commence à pétiller en bouche ? J'espère !





Faites vos jeux. I hate être raisonnable !

Alors suivez moi et que rien ne s'oppose à la nuit. More than you see, il y a la vie, la vraie , corps et âme.

Un peu, beaucoup, absolument ! Entrez donc dans l'extraordinaire le temps d'un moment, plaisir garanti !

Satisfaisez toutes vos envies, faites des folies, soyez passionné sinon rien et instantanément, visiblement et précisément vous vivrez d'unforgettable moments, des histoires d'exception !







From me to you, je fais ce qui me plaît ... et fort bien d'ailleurs, et croyez moi c'est sacrilègement bon !

Faites passer le message, à bon entendeur salut !



mardi 20 décembre 2011

Humm ... nos madeleines ... de Proust !

Tel un maelström certains souvenirs , odeurs , douceurs ou autres délices enfantines réapparaissent au détour d'une rencontre , d'un lieu, de moments volés et nous émeuvent !

Qu'il est bon de les retrouver !

J'adore faire ma crâneuse lettrée ... au cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué mais j'assume aussi ( comment qu'elle s'la pète !) .

Alors que Proust mange une madeleine, son goût fait soudain resurgir celui des madeleines de son enfance et par extension, toute son enfance. La madeleine de Proust, c'est le détail qui rattache au passé, qui réveille les souvenirs. C'est le fil rouge d'une vie, la conscience d'un passé qui a façonné l'Homme que l'on est devenu.




On ne s'en lasse pas !
On est émus en dégustant notre Madeleine et on en pleurerait presque de bonheur !

Dans le cadre de ma grandeur ( réplique déjà cultissime de Madagascar 2 ) je vous laisse profiter du fameux extrait Swannissime :





II y avait déjà bien des années que, de Combray, tout ce qui n'était pas le théâtre et le drame de mon coucher, n'existait plus pour moi, quand un jour d'hiver, comme je rentrais à la maison, ma mère, voyant que j'avais froid, me proposa de me faire prendre, contre mon habitude, un peu de thé. Je refusai d'abord et, je ne sais pourquoi, me ravisai. Elle envoya chercher un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui semblent avoir été moulés dans la valve rainurée d'une coquille de Saint-Jacques. Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d'un triste lendemain, je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j'avais laissé s'amollir un morceau de madeleine. Mais à l'instant même où la gorgée mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d'extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m'avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause. II m'avait aussitôt rendu les vicissitudes de la vie indifférentes, ses désastres inoffensifs, sa brièveté illusoire, de la même façon qu'opère l'amour, en me remplissant d'une essence précieuse : ou plutôt cette essence n'était pas en moi, elle était moi. J'avais cessé de me sentir médiocre, contingent, mortel. D'où avait pu me venir cette puissante joie ? Je sentais qu'elle était liée au goût du thé et du gâteau, mais qu'elle le dépassait infiniment, ne devait pas être de même nature. D'où venait-elle ? Que signifiait-elle ? Où l'appréhender ? Je bois une seconde gorgée où je ne trouve rien de plus que dans la première, une troisième qui m'apporte un peu moins que la seconde. II est temps que je m'arrête, la vertu du breuvage semble diminuer. Il est clair que la vérité que je cherche n'est pas en lui, mais en moi. [...] Je pose la tasse et me tourne vers mon esprit. C'est à lui de trouver la vérité. Mais comment ? Grave incertitude, toutes les fois que l'esprit se sent dépassé par lui-même ; quand lui, le chercheur, est tout ensemble le pays obscur où il doit chercher et où tout son bagage ne lui sera de rien. Chercher ? pas seulement : créer. II est en face de quelque chose qui n'est pas encore et que seul il peut réaliser, puis faire entrer dans sa lumière. Et je recommence à me demander quel pouvait être cet état inconnu, qui n'apportait aucune preuve logique, mais l'évidence, de sa félicité, de sa réalité devant laquelle les autres s'évanouissaient. Je veux essayer de le faire réapparaître. Je rétrograde par la pensée au moment où je pris la première cuillerée de thé. Je retrouve le même état, sans une clarté nouvelle. Je demande à mon esprit un effort de plus, de ramener encore une fois la sensation qui s'enfuit. Et, pour que rien ne brise l'élan dont il va tâcher de la ressaisir, j'écarte tout obstacle, toute idée étrangère, j'abrite mes oreilles et mon attention contre les bruits de la chambre voisine. Mais sentant mon esprit qui se fatigue sans réussir, je le force au contraire à prendre cette distraction que je lui refusais, à penser à autre chose, à se refaire avant une tentative suprême. Puis une deuxième fois, je fais le vide devant lui, je remets en face de lui la saveur encore récente de cette première gorgée et je sens tressaillir en moi quelque chose qui se déplace, voudrait s'élever, quelque chose qu'on aurait désancré, à une grande profondeur ; je ne sais ce que c'est, mais cela monte lentement ; j'éprouve la résistance et j'entends la rumeur des distances traversées. Certes, ce qui palpite ainsi au fond de moi, ce doit être l'image, le souvenir visuel, qui, lié à cette saveur, tente de la suivre jusqu'à moi. Mais il se débat trop loin, trop confusément ; à peine si je perçois le reflet neutre où se confond l'insaisissable tourbillon des couleurs remuées ; mais je ne peux distinguer la forme, lui demander, comme au seul interprète possible, de me traduire le témoignage de sa contemporaine, de son inséparable compagne, la saveur, lui demander de m'apprendre de quelle circonstance particulière, de quelle époque du passé il s'agit. Arrivera-t-il jusqu'à la surface de ma claire conscience, ce souvenir, l'instant ancien que l'attraction d'un instant identique est venue de si loin solliciter, émouvoir, soulever tout au fond de moi ? Je ne sais. Maintenant je ne sens plus rien, il est arrêté, redescendu peut-être ; qui sait s'il remontera jamais de sa nuit ? Dix fois il me faut recommencer, me pencher vers lui. Et chaque fois la lâcheté qui nous détourne de toute tâche difficile, de toute oeuvre importante, m'a conseillé de laisser cela, de boire mon thé en pensant simplement à mes ennuis d'aujourd'hui, à mes désirs de demain qui se laissent remâcher sans peine. Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul. La vue de la petite madeleine ne m'avait rien rappelé avant que je n'y eusse goûté ; peut-être parce que, en ayant souvent aperçu depuis, sans en manger, sur les tablettes des pâtissiers, leur image avait quitté ces jours de Combray pour se lier à d'autres plus récents ; peut-être parce que, de ces souvenirs abandonnés si longtemps hors de la mémoire, rien ne survivait, tout s'était désagrégé ; les formes - et celle aussi du petit coquillage de pâtisserie, si grassement sensuel sous son plissage sévère et dévot - s'étaient abolies, ou, ensommeillées, avaient perdu la force d'expansion qui leur eût permis de rejoindre la conscience. Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l'édifice immense du souvenir.

Marcel Proust, À la recherche du temps perdu. Du côté de chez Swann, 1913.



Ma madeleine de Proust n'est ni une douceur ni une sucrerie , c'est une odeur inénarrable ! Celle de la colle Cléopatre pour manger ... et parfois coller . Une odeur d'amande impossible à oublier ( je la sens rien que d'en parler ) et tellement agréable que beaucoup la mangeait ( perso, j'ai jamais osé mais qu'est-ce que j'ai pu SNIFFER  ). From me to you, oui je sais, j'ai des souvenirs trop glam mais j'en ai d'autres plus pétillants , si si je vous assure ... Eh , revenez, me laissez pas toute seule  !
Loin de moi l'idée de vous imposer mon opinion personnelle que j'ai ( Madagascar 2, décidément ), mais c'est aucun doute , LE souvenir d'enfance numéro 1 !





Et vous, quelles sont vos madeleines de Proust ?


Never forget !





XOXO

jeudi 15 décembre 2011

Once upon a time ...

... une jeune femme fraîchement diplômée en littérature qui s'engagea dans la voie financière ( cherchez l'erreur ! ). Dynamique et motivée ( quand même ... ) elle évolua au sein de la sphère patrimoniale. Devenue maman elle continua sans relâche à s'investir dans le milieu bancaire.


 Puis une belle et opportune nouvelle arriva , elle partait vivre au bout du monde avec sa famille au pays du matin calme ( la Corée du Sud  si chère à mon coeur ). Là bas elle connut la joie de travailler auprès des enfants , collégiens et lycéens. Et ce qui devait arriver arriva, la magie opéra . En même temps , cette envie d'être entourée d'enfants était déjà là, latente et mûrissante.
Sa vie fut transformée, dorénavant elle se consacrerait aux enfants . Elle en avait déjà deux merveilleux, mère juive oblige , mais ça ne suffisait pas.


De retour au pays du fromage qui pue mais qu'on aime tant , elle reprit le chemin de l'école pour devenir professeur des écoles . Elle étudia à nouveau, au fond de la classe, près du radiateur et avec les cancres et se passionna pour la pédagogie et tout le toutim .Master en poche mais inadmissible au fameux concours, sésame de l'enseignement du premier degré , elle réussit à s'entourer d'élèves à nouveau et trouva alors un poste d'assistante pédagogique et d'éducation dans un collège.
Today I love children et tous les autres jours aussi , ils sont ma raison d'être.

Il ne faut pas avoir peur du bonheur. C'est seulement un bon moment à passer.

La curiosité des enfants est un penchant de la nature qui va comme au devant de l'instruction; ne manquez pas d'en profiter.    Fénelon

Voilà, en autre chose , ce qui me plaît en eux . Ils sont tous attachants, enfin presque tous. Et croyez moi , à leur contact, on est en perpétuel apprentissage . L'éducation ne consiste pas à gaver, mais à donner faim.





Courage, fuyons, diraient certains mais ne jugeons pas chaque jour à la récolte que nous faisons mais aux graines que nous semons.
Traitons les comme s'ils étaient ce qu'ils doivent être et nous les aiderons à devenir ce qu'ils sont capables d'être .   

Et cerise sur le gateau , la vie scolaire avec laquelle je travaille est quelque peu fantastique, on forme tous a magic team . Quant à la direction,  chapeau bas aussi !

On ne peut pas de toute façon faire ce métier sans aimer les enfants, c'est une certitude et je confirme.
Et n'oublions pas que toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants, mais peu s'en souviennent .   Saint Exupéry

Je dédie ce post à tous mes collégiens .


Moi aussi je vous aime !





La jeunesse est une ivresse continuelle; c'est la fièvre de la santé ; c'est la folie de la raison.




Happy end !

dimanche 4 décembre 2011

Today I love my dear Japan !

Let me be with you !







Je t'ai visité, je t'ai aimé et tu occupes une place à part dans mon coeur.

Tu as révélé ma Kawaïï attitude et je suis devenue Japan addict.




J'ai été bouleversée par le terrible drame survenu dans le Tôhoku et je reconnais que jusqu'à ce jour je n'avais pas oeuvré pour te venir en aide. Shame on me ! Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire !



Grâce à Be Barock j'ai découvert Kibô Promesse et j'en ai le beau à la bouche !
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Love JAPAN !

jeudi 1 décembre 2011

Today I love ... FG !

Et tous les autres jours de ma vie d'ailleurs, sans hésitation aucune !

FG, Fucking Good Music, est la radio de ma life.



Je lui dois ma pêche et ma bonne humeur, FG me fait ma journée !

Fidèle auditrice depuis maintenant plus de 5 ans, je me devais de lui consacrer un post addictissime .




Best radio in town, FG is my sunshine !

Chaque matin , avant de me rendre à mon boulot presque parfait, je mets le volume à fond les ballons sur 98.2 FM et la magie opère. J'ai une de ces pêches, de l'adrénaline pure et dure.
Tous les meilleurs dj's et tubes qui claquent sont résidents à vie sur cette Fucking Good Radio.
David Guetta, Bob Sinclar, Benny Benassi, et j'en passe , du pur bonheur, just ENJOY !



House, chic, clubbing, underground, dance electro, remix , les radios à 3 lettres ne font pas le poids. Je rigole doucement quand celles-ci ont le culot de clamer qu'elles sont les premières à programmer tel titre tubesque. Et là dedans , on se reveille. On les écoute déjà en boucle ces tueries ,  depuis au moins deux mois sur my Favorite Fucking Radio . Bienvenue là où tout commence !

Avec FG, ma play list c'est :



Il y a des hôtels qui grattent le ciel, il y des sons qui te font flying and dreaming, un point c'est tout !

Amis du son qui claque, rendez-vous sur FG, c'est juste une question de style !

Une vraie jubilation jubilatoire, mon anti stress , ma fillosophie musicale , the place to hear and dance !



Absolutely indispensable, priorité prioritaire, ma seule posologie !

FG m'accompagne , fidèle ami de tous les jours , toujours imité, jamais égalé !

Spéciale dédicace à Antoine B, the best one !

Une FG addict qui ne se soigne pas !

L'avenir de l'homme ...

... c'est la femme. Elle est la couleur de son âme.      Aragon

Quel visionnaire !





Que feriez-vous donc sans nous ? On se le demande bien !

Peu féministe , plutôt docile et soumise (  presque Japan woman ) il est tout de même grand temps que je remette l'église au milieu du village . Saperlipopette !

Ne jamais oublier que derrière la réussite de chaque homme il y a une femme.

Ode à nous !

Tous les grands hommes nous célèbrent, révisons nos classiques alors , que du bonheur en perspective !

Je fête l'essentiel, je fête ta présence .    Eluard

Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes .     Balzac

Certes, mais nous ne sommes pas que cela.

Un homme sans femme n'est qu'un demi-homme. Qu'on se le dise !

Femmes, c'est vous qui tenez entre vos mains le salut du monde.    Tolstoï

Là où tant d'hommes ont échoué, une femme peut réussir.   Talleyrand

Les femmes sont cause des plus grands évènements.  Bayle

Le bonheur est une femme.   Nietzsche

Ce que femme veut, Dieu le veut.

Une femme qui aime transforme le monde.

Et j'en passe ... La liste est loin d'être exhaustive , vous le comprendrez bien !

Toujours imitées, jamais égalées !

Be what we want !



Les femmes , ce n'est pas compliqué , c'est subtil !

samedi 26 novembre 2011

J'ardissonne ...






Oui, je l'avoue , j'aime ardissonner !

Ne vous est-il jamais arrivé de prôner l'impertinence voire l'insolence ? D'envoyer paître l'establishment mais surtout d'être politiquement incorrect ?

Qui n'a pas un jour voulu déraper à l'envi me jette la première pierre ?
Rien ne vaut une bonne trash attitude, un comportement borderline mais sous haute surveillance cela va de soi !
Je vous choque ? Point trop n'en faut !



A la vérité, nous feignons tous de notre mieux .

On n'a qu'une vie et n'est pas si lisse qui veut !

Stop talking bullshit !!!

Les non dits nuisent au développement personnel, un peu de free style verbal s'impose dans certaines situations. Malheureusement , quand on réalise qu'on aurait pu en user, il est déjà trop tard . Soyons sarcastique et décapant, cynique mais pas trop.

Je me méfie toujours des clichés fades et sirupeux.

Brillons chaque jour et décomplexons nous . Love, laugh, live , mes 3 L préférés.

Kiss slowly, forgive quickly, play hard, take chances, give everything and have no regrets.

Cry, if it makes you feel better and scream , if it makes you feel free.



Open our mind !

Soyons fort en goût et lâchons nous !

Serial rebel, always


mercredi 23 novembre 2011

Facebookcorette ?




Néologisme pas si saugrenu que ça en fait !

Comme toute addiction , il est nécessaire de trouver un remède et surtout de ne plus pratiquer ... Il se trouve que la  FACEBOOK ADDICT ou FBA est en plein essor . Ce réseau social ô combien essentiel voire vital pour certains n'a de cesse d'envahir notre vie  . Je clique, tu cliques, je like , je dislike . Une nouvelle pathologie ? C'est grave, docteur ?

Qui n'a pas passé des heures sur FB à visionner les pages des uns et des autres me lance la première pierre ?  Aïe , Aïe , eh oui j'avais oublié les Facebookophobes ....

Mais FB est aussi une grande source de plaisir. Ceux qui sont addicts comme moi, mais je me soigne, privilégient à travers ce réseau social le contact, la rencontre avec l'autre. FB peut être aussi un îlot de convivialité.


Sinon, si la FBA est déjà là, avant de prendre la Facebookcorette, quelques conseils s'imposent :

- s'isoler



- un post par jour maximum tu publieras

- tu ne dislikeras plus ( vilaine !)

- être urban chic avant tout

- serial folissime tu seras

- toujours des posts " be yourself "

- une plume vitaminée et dilettante tu manieras


FB permet aussi de se joindre à certains groupes et de défendre certaines causes plus qu'humanitaires. Je n'en citerai que quelqu'unes ...

- contre les retraités qui font leurs courses après 18h

- tomber sur 21h21 a une réelle signification

- pour que le coyote attrape enfin cet ... (bip) de bip-bip

- ceux qui écoutent les conversations dans le métro

- ceux qui lèchent leur ... cuillère de Nutella

- ceux qui n'aiment les bulles que dans le champagne

- ceux qui se goinfrent de bonbons plein de colorants et de calories

- ceux qui n'ont jamais la fève dans la galette des rois, un vrai drame personnel




Sinon on peut aussi militer pour la réconciliation des oeufs brouillés ...

En attendant ...



Sur ce, see you spoon après ce post ridiculously extraordinary , i'm afraid so !

lundi 21 novembre 2011

Survie alimentaire ...




ou faire ripaille à tout prix !

Il se trouve que j'ai eu l'immense bonheur de vivre à Séoul durant 2 trop courtes années. J'ai profondément aimé ce pays du matin calme et il ne se passe  pas un seul jour où je ne pense à lui. Un prochain post teinté de nostalgie lui sera consacré . Rien que de l'évoquer , j'en ai les larmes aux yeux...

Comme à l'accoutumée , nous autres français accordons une place toute particulière aux plaisirs de la table . Que serait notre beau pays sans sa gastronomie ? Je vous le demande !

Petite lettre à la dérive

" Mange ta soupe . Tiens toi droit. Coupe ta viande en petits morceaux. Ce n'est pas comme ça qu'on tient sa fourchette . On ne chante pas à table. Vide ton assiette. Ne te balance pas sur ta chaise. Finis ton pain. Ne parle pas la bouche pleine. Ne mets pas tes coudes sur la table. Ne fais pas de bruit en mangeant. Tu sortiras de table quand on aura fini. Cette petite liste réveille une foule de souvenirs, ceux de l'enfance ... C'est très longtemps après qu'on arrive à comprendre qu'un dîner peut être un véritable chef-d'oeuvre."

Jean Cocteau

Soyons francs, la cuisine coréenne est bien éloignée de notre cuisine française. A chaque culture ses goûts, nous en conviendrons certes mais cela n'agrémentait pas nos plats. Même si le " home made " avait retrouvé ses lettres de noblesse, la variété, gage d'équilibre, se faisait rare.
Qu'on se le dise, en aucun cas je ne me permettrais de porter un quelconque jugement critique sur la korean food. Force est de constater que nous avons une conception du goût et du plaisir culinaire autre.

Le repas se doit être un véritable plaisir. Qui peut nier que manger n'est pas seulement une question de faim ? Il est grand temps maintenant d'aborder ce thème qui nous est si cher, la gastronomie. La gastronomie est l'art d'utiliser la nourriture pour créer le bonheur.  " Le ciel était bleu, tout souriait, je sortais de table, j'étais heureux . " Gustave Flaubert

Les restaurants français et étrangers n'étaient pas légion et de ce fait nous avons jalousé les bonnes cuisinières, ouh c'est mal !
" De tous les arts, l'art culinaire est celui qui nourrit le mieux son homme." Pierre Dac







Quand bien même, les bons restaurants et les non moins émérites cuisinières existaient, il se trouve que nous avions tous au plus profond de notre coeur la nostalgie de notre fleuron national, la gastronomie.
La bonne table fait chaud au coeur et crée des instants de bonheur. La psychologie de l'assiette est de retour. Comme aimait à le dire une collègue du LFS ( lycée français de Séoul ) : " c'est encore ta minute Maïté !" Eh oui, j'étais déjà à l'époque et le suis encore , plus que jamais, une cuisine française addict. Une serial gastronome, c'est grave docteur ?
Nobody is perfect, j'avais néanmoins la certitude voire l'intime conviction que je n'étais pas la seule à fabuler voire fantasmer ( n'ayons pas peur des mots !) sur un bon confit de canard ou autres produits du terroir. Quel bonheur de festoyer, de se régaler des plaisirs de la bonne chère. Je deviens " gastrosophe" à mes jours perdus. Quel plaidoyer pour le goût, me direz-vous ! Absolument , je le revendique haut et fort !

" Nul n'est plus heureux que le gourmand !" aimait à répéter Jean Jacques Rousseau . La survie alimentaire s'organisait avec les moyens du bord et toute la communauté faisait de la résistance. Et surtout on n'oubliait pas le crucial décompte du jour J du retour en France. Remplir nos valises de victuailles s'avérait être un sport national et intensément pratiqué par les francophones que nous étions. En désespoir de cause, comme lot de consolation, on lisait des livres de cuisine et recettes.

La gourmandise est-elle un péché ?

" Un restaurant gastronomique, c'est un restaurant qui donne la gastro ? "   Paroles d'enfants

See you spoon !


credit photo : we love it , comme toujours .

dimanche 20 novembre 2011

L'underground de la Blogosphère ...

Je blogue, tu blogues ... elles/ils bloguent ! La toile n'est qu'un tableau géant haut en couleurs ou dark où tous les blogueurs laissent libre cours à leur plume ...
Découvrir un blog, le lire, le commenter, le suivre, le partager est monnaie courante, certains nous inspirent, d'autres nous révoltent ! On ne reste pas indifférent et on agrandit son cercle des fameux J'AIME .
Pour autant, tous les blogs ne se ressemblent pas et surtout ne mènent pas tous à Rome ...
Il arrive même que l'on ouvre la boîte de Pandore par inadvertance . Et de ce fait on est blacklisté. Et notre e-réputation alors ?
La blogosphère n'est qu'une grande cour d'école et puisque c'est comme ça et ben moi je vais le dire à la maîtresse !
Heureusement, il existe un monde parallèle où vivent des vraies blogueuses qui partagent, sont généreuses, prennent le temps de vous lire  et réciproquement, s'abonnent à votre flux et j'en passe ... Petit lectorat grandira ! Patient tu seras !




Pas de mesquineries mesquines mais de vrais échanges, une communauté positive, enthousiaste et chaleureuse, ce que tout bon blogueur recherche .
J'ai la chance d'avoir , en plus de mes cop's de toujours et des new one, des coupines blogueuses qui me font connaître leurs univers cosy, décalé, frais et plein de bonne humeur , un oueb entourage de folaïe !
La blogosphère, un univers pas si impitoyable que ça !
It's a short walk, but a long trip !
Je blogue donc je suis !

Ecrire : la seule façon d'émouvoir autrui sans être gêné par un visage     Jean Rostand

Amis du soir, bonsoir

jeudi 17 novembre 2011

La critique est aisée ...

Mais l'art est difficile !

Figurez-vous donc , qu'une personne que j'apprécie beaucoup et que j'admire tout autant a tout de même eu le culot légitime de critiquer mon dernier post . Saperlipopette !
Je me targue d'habitude de rétorquer : " la critique est aisée mais l'art est difficile . Dans ma grande mansuétude légendaire, je lui pardonne. D'autant plus qu'en toute sincérité sincère, il a complètement raison. Mon post était quelque peu superfétatoire , je dois le reconnaître . Je le remercie pour sa franchise , c'est une rare et précieuse qualité.








Tout ça pour vous dire, va à l'essentiel dirait plus exactement ma moitié, qu'il faut savoir accepter la critique même si elle est porte atteinte à notre petit égo ...
Et de ce fait , pour me venger, femme perfide que je suis , j'utilise sciemment des acceptions littéraires. Celles-ci, pour les comprendre, nécessiteront une recherche sur ce merveilleux ouvrage qu'est le dictionnaire. Ladite personne ne manquera pas de le consulter pour éviter mes prochaines taquinades sémantiques ...
Ne fabriquons pas du malheur avec des petites contrariétés, j'écrirai mieux une prochaine fois et puis c'est tout. De vous à moi, le chocolat éliminant tous les petits tracas, ce sera ma posologie du soir.
Il n'y a de si bonne compagnie qui ne se quitte !
Une mission coupinesque m'attend, passer une commande Magic Soup pour gâter ceux que j'aime .
Vite, vite j'en veux , scandent -elles déjà !





Au cortège des délices enfantines, TOP PRIORITY !

mercredi 16 novembre 2011

Daily's fortunes ...

Ou boites cadeaux qui contiennent des petites pensées positives à piocher chaque jour !
Cadeau original , me direz-vous ? Ca se discute en même temps ...

Sans fausse note et en douceur un best of s'impose :

- si vous êtes franc et honnête; on le sera d'autant avec vous-même .
D'une rare pertinence, je le concède.

- aujourd'hui , vous devriez faire preuve de courage et d'abnégation
C'est un peu, beaucoup tous les jours, ça , non ?

- faites la liste de vos qualités et de vos défauts. Listez 5 qualités, et seulement 2 défauts
En un mot comme en cent, j'ai les qualités de mes défauts ...

- it's nice to be important but it's more important to be nice !
Enoooooorme !

Et the last of tonight :

Nutella, the only reason to buy bread !

PS : comme vous avez pu le constater, la photo du jour est quelque peu hors sujet ... just fun !

vendredi 11 novembre 2011

To be a friend or not to be ?

That is the question !


J'ai lu, eh oui je sais le faire, un article intéressant dans un magazine de presse internationale . Comme beaucoup d'entre vous, j'entretiens une relation étroite et particulière avec l'actualité et j'aime être au courant de ce qui se passe dans l'outside world .

Ceci est donc un petit mensonge ...



Donc je lisais Biba ... J'en vois déjà certains sourire voire glousser, non mais moi j'assume ma women attitude et je l'affiche !
Le sujet était " repérer ( et virer) des copines boulets. Repérer, heureusement, au bout d'un certain temps ou d'un temps certain c'est déjà fait , après la vraie bonne question est : qu'en fait-on de ces fausses copines ?
On veut bien être urbaine mais il y a des limites, de bonne à conne il n'y a qu'une lettre ...
Je résumerai l'amitié en quelques axiomes donc le plus important , en tout cas pour moi , est :

- la seule façon d'avoir un ami est d'en être un !

On a tous des hauts et des bas mais pour certains il n'y a que des bas et on est toujours réquisitionné pour les aider à passer en mode " up", stop et nos "down" à nous , on ne les voit pas car trop occupés à leur petite personne les soi-disants copines sont .

L'amitié à sens unique n'est pas une amitié, l'échange n'est plus .
Les entendre parler en boucle de leurs sempiternels problèmes ça épuise et elles consomment toute notre énergie positive , j'ai bien écrit "entendre" car à un moment donné on n'écoute plus.

Résumons, les vraies bonnes copines sont :

- à l'écoute
- présentes lors de nos rares " down"
- open

et j'en passe ...

Plus on juge , moins on aime dixit mon cher et tendre Balzac.
Soit ... mais faisons en sorte que notre précieux temps soit consacré aux vraies amies et ne nous dispersons pas avec les autres
Entretenons nos belles et vraies amitiés, privilégions les moments avec nos best friends.
Disputons nous s'il le faut et si besoin est , les disputes consolident l'amitié, spéciale dédicace à M. qui se reconnaîtra

Soyons vigilants et surtout lucides, les blessures de l'amitié peuvent aussi être inconsolables.

Je dédicace ce post à toutes mes vraies amies.
Today I love them ... et tous les autres jours de ma vie aussi .



Serial friendly !

dimanche 6 novembre 2011

Café in !

Ou ode à my favorite hot drink !

Sans lui que deviendrais-je chaque jour ?
Fidèle compagnon je te dédie ces quelques lignes .

Trois choses insupportables : le café brûlant, le champagne tiède et les femmes froides , sacré Orson Welles.


Quant à notre cher Talleyrand , pour lui le café est noir comme le diable, chaud comme l'enfer, pur comme un ange et doux comme l'amour.   

What else ?

Expresso, café largo, corto, macchiato, con leche, Moka, cappuccino , marocchino ou bien crème, viennois ou vénitien , peu importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse . Cet alcaloïde n'est pas le favori outre Manche, qu'à cela ne tienne ! Je sais maintenant pourquoi les British préfèrent le thé: je viens de goûter leur café !

Sans café in  ...

La palme du bon mot revient à notre cher Churchill ...



Faites aussi attention aux contrefaçons !


Soyez donc vigilant et consommez le sans modération



Today I love you, COFFEE !